Vous cherchez...

 
Un laboratoire
   
   
 
 
UMR1135 CEE-M Centre d'Economie de l'Environnement Montpellier
- Complément d'adresse :
INRAE 2 place Viala 34060 MONTPELLIER CEDEX 1 Afficher la suite
INRAE 2 place Viala 34060 MONTPELLIER CEDEX 1 Réduire

- Missions :
Le LAMETA (Laboratoire montpelliérain d'économie théorique et appliquée) est un regroupement d'équip Afficher la suite
Le LAMETA (Laboratoire montpelliérain d'économie théorique et appliquée) est un regroupement d'équipes de recherche appartenant à 2 Institutions d'enseignement supérieur (Université de Montpellier I, SupAgro) et à 2 institutions de recherche (CNRS, INRA). Ces équipes se sont associées en vue d'atteindre une meilleure qualité de recherche dans un petit nombre de domaines pour lesquels elles disposaient d'une compétence spécifique reconnue ou d'un avantage comparatif. Le LAMETA est organisé administrativement en UMR (Unité mixte de recherche), dotée d'une direction unique, oeuvrant pour la mise en oeuvre d'un projet scientifique évalué et approuvé par les différents partenaires, qui mettent en commun des moyens humains, matériels et financiers. Au plan scientifique, l'activité du LAMETA ( )est organisée autour de 3 axes de recherche : - théorie des choix individuels : modélisations, expérimentations, applications et économie publique sociale (éthique sociale, économie publique spatiale, santé) ; - macro-économie, histoire économique quantitative ; - économie des ressources naturelles, de l'environnement et politiques publiques. Les activités des chercheurs de l'INRA sont organisées dans le programme 3 "Économie des ressources naturelles, de l'environnement et politiques publiques". Il est centré sur le thème de la négociation et de la coordination des politiques publiques d'environnement et de gestion des ressources naturelles. Au-delà du constat des caractéristiques génériques des problèmes d'environnement et de ressources naturelles (absence de droits de propriété bien définis, absence ou incomplétudes de marchés, dynamique naturelle plus ou moins difficile à contrôler) et de la question fondamentale de l'intégration des externalités dans le calcul économique, la problématique actuelle de l'analyse économique des politiques de l'environnement a été largement renouvelée par le constat qu'elles doivent s'insérer le plus souvent dans des dispositifs sectoriels existant, qui limitent leur portée spécifique, et appellent une coordination souvent difficile et coûteuse . Ainsi, il est désormais évident que la légitimité et donc l'avenir des politiques agricoles, en particulier de la PAC, dépendent de la capacité des parties concernées à prendre en compte d'autres intérêts et d'autres fonctions que la seule fonction productive de l'agriculture. Parmi celles-ci, la protection de l'environnement et des ressources naturelles apparaît comme une priorité. Cette logique d'internalisation et de développement durable concerne bien évidemment les politiques forestières, de l'énergie ou des transports. Au niveau international, la négociation et la coordination des politiques publiques sont imposées par l'absence d'autorité centrale légitime et par la nécessité d'harmoniser les politiques menées par les différents pays. Au niveau national ou local, la coordination des politiques publiques vise à répondre à l'exigence de mise en cohérence des différentes politiques sectorielles et à répondre aux problèmes posés par les asymétries d'information et l'hétérogénéité des préférences des agents. Notre projet est d'aborder ces questions en mettant en oeuvre plusieurs approches, mettant respectivement l'accent sur la coordination fonctionnelle et sur la coordination stratégique des politiques sectorielles. Concrètement, nos domaines d'application portent sur la gestion de l'eau, les paysages et la biodiversité. Une opération de recherche est consacrée aux liens entre politique agricole et politique d'environnement, une autre aux négociations internationales sur le climat et la biodiversité. Réduire

- Moyens :
L'UMR compte 35 chercheurs et enseignants-chercheurs, 11 techniciens et administratifs, et une quara Afficher la suite
L'UMR compte 35 chercheurs et enseignants-chercheurs, 11 techniciens et administratifs, et une quarantaine de doctorants, répartis sur deux sites (Faculté de Sciences économiques, et Campus SupAgro-INRA). Réduire

 

En naviguant sur notre site vous acceptez l'installation et l'utilisation des cookies sur votre ordinateur. En savoir +