Un laboratoire
   
   
 
 
Centre de recherche Bretagne-Normandie
- Complément d'adresse :
INRAE Domaine de la Motte au Vicomte BP 35327 35653 LE RHEU CEDEX Afficher la suite
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- Missions :
Le Centre INRAE de Rennes Bretagne et Basse-Normandie Le centre de recherche de l'INRA de Rennes reg Afficher la suite
Le Centre INRAE de Rennes Bretagne et Basse-Normandie Le centre de recherche de l'INRA de Rennes regroupe environ 1 000 personnes (700 titulaires) qui exercent leur activité au sein de 13 unités de recherche, 5 unités expérimentales et 4 unités d'appui. Ces unités sont réparties sur 11 implantations situées en Bretagne et Basse-Normandie. Les treize unités de recherche du centre (dont 12 sont localisées en Bretagne) regroupent 200 chercheurs et enseignants-chercheurs, 90 ingénieurs, 80 doctorants et 400 personnels techniques. En Bretagne, l'essentiel des activités de l'INRA se déploie en Ille-et-Vilaine, et plus particulièrement dans l'agglomération rennaise qui héberge 85% des effectifs du centre. Du fait de son histoire liée à la présence d'une grande école agronomique (Agrocampus Ouest) le Centre dispose de compétences en sciences du vivant, sciences sociales, agronomie, technologie agro-alimentaire ; des savoir-faire complémentaires qui favorisent son positionnement sur des thématiques Agriculture-Alimentation d'une part, et Agriculture-Environnement d'autre part. L'INRAE de Rennes est aujourd'hui le 4e centre de recherche INRA de France et l'un des Etablissements publics scientifiques et techniques les mieux représentés en Bretagne et Basse-Normandie. Les recherches fondamentales et finalisées du centre INRAE de Rennes se déclinent selon quatre thèmes dont le fil conducteur est la durabilité des filières agro-alimentaires en région tempérée : - Adaptation des filières animales agro-industrielles aux enjeux du développement durable; biologie animale et systèmes d'élevage L'enjeu est de conforter les capacités d'adaptation des filières animales et de proposer des méthodes d'évaluation de la durabilité des systèmes de production qui intègrent l'ensemble des critères : impacts environnementaux, variabilité économique et équité sociale, qualité des produits. L'approche territoriale est privilégiée par la prise en compte du caractère multifonctionnel de l'agriculture via ses impacts sur l'économie, les milieux naturels et l'occupation de l'espace. Cette approche s'inscrit dans la perspective de mieux intégrer l'agriculture au développement des territoires. - Adaptation de la filière lait aux enjeux nutritionnels du développement durable Pour rester compétitive, la filière lait doit innover et diversifier son offre de produits laitiers en proposant notamment des produits à haute valeur ajoutée. Il s'agit également de valoriser les différents composants du lait pour leur potentiel en matière de transformation ou sur leur valeur nutrition et santé. - Maîtrise de la qualité de l'eau dans les bassins versants agricoles Le premier objectif est d'appréhender les mécanismes de transfert des polluants dans les bassins versants, leurs effets perturbateurs et leur devenir dans les milieux aquatiques. Des indicateurs de la santé des écosystèmes sont également développés. L'enjeu de ces recherches est de proposer des systèmes de production qui soient compatibles avec une utilisation des eaux de surface pour la production d'eau potable conjuguée à un usage récréatif des rivières et plans d'eau. La Bretagne est une véritable zone atelier pour ce thème. La reconquête de la qualité de l'eau est une préoccupation majeure pour cette région où 80% de l'eau destinée à la consommation humaine provient des eaux de surface. La qualité de ces eaux bretonnes dépend principalement de l'hydrologie et de la gestion des bassins versants agricoles. - Bases biologiques et écoconception de systèmes intégrés de production en grandes cultures y compris légumières; Biologie des bioagresseurs, génétique de la résistance des plantes de grandes cultures aux maladies et gestion durable des variétés résistantes L'utilisation de variétés de plantes cultivées résistantes aux principaux bio agresseurs (champignons, insectes ou nématodes ravageurs des cultures) est une voix privilégiée pour le développement de systèmes de production végétale moins consommateurs de pesticides. La création de ces variétés suppose la connaissance de la génétique de la résistance des plantes aux bio agresseurs, la compréhension des mécanismes de résistance et l'évaluation de leur durabilité. Réduire

 

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